Nos habitudes alimentaires ont progressivement évolué ces quarante dernières années : composition des repas, leur répartition dans la journée et le temps qui leur est consacrés.

 

Ces changements, liés à un mode de vie plus accéléré, ont conduit à un déséquilibre nutritionnel qui fragilise de plus en plus notre santé.

 

Combinées à une faible activité physique, nos nouvelles habitudes alimentaires contribuent à la recrudescence d’obésité et peuvent accroître les risques de maladies cardio-vasculaires, de diabète, voire une diminution de son espérance de vie. L’obésité peut être un facteur aggravant sur la qualité du sommeil.

 

Outre les délices parfois trop gras ou trop salés que l’industrie agro-alimentaire nous propose à coup de spots publicitaires, dans les années 90 nous avons dû affronter et nous adapter à des situations comme celle de la maladie de la vache folle ; plus récemment la pandémie de la grippe aviaire. Ces situations nous ont détournés d’aliments importants à nos fonctionnalités organiques.

L’association d’un contexte économique difficile et un pouvoir d’achat en baisse, a favorisé des nouveaux comportements alimentaires : consommation de snack, confiseries industrielles, chips, sodas, nourritures industrielles trop riches en graisse et en sucres, fast food, etc …

 

Le palmarès du royaume absolu de la malbouffe et de l’obésité est malheureusement porté par les États Unis d’Amérique.

Les États européens, malgré leur variété et qualité culinaire, subissent constamment une forte recrudescence des cas d’obésité et de mortalité cardiovasculaire.

La première dame des États Unis d’Amérique prend les devant et devient l’ambassadrice d’une meilleure alimentation et d’une meilleure hygiène de vie. Ces facteurs, sont des éléments essentiels lorsqu’on souhaite s’assurer longévité et garantir une bonne qualité de vie.